N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL

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2009-12-30

bélier versus poison

Chez moi, le seul fait de me conduire de façon complice avec quelqu'un ou quelqu'une dit tout, en termes de validation élective, j'ai le sentiment de tout y faire passer, ou l'essentiel, et qu'il n'y ait rien besoin d'ajouter, en compliments, qui ne soit inférieurement redondant, comme hypocoristique, obscène plus ou moins.
En revanche (de la même logique), quitte à heurter bien souvent, lorsqu'un élément d'apparence contingente me déplaît solidement chez un ou une complice, mon idiosyncrasie me pousse à m'en ouvrir à lui ou elle, afin, me semble-t-il, d'empêcher au maximum que cette contrariété ne passe alors dans mon comportement, ne s'y insinue, n'y « descende », si on veut, et s'y exprime par sa manière à lui, physique, sournoise, combien plus chère payée, empoisonnante pour la relation, nos existences ; jusqu'à fomenter une apocalypse* relationnelle, type Le Verdict (de Kafka).
(o.K.)

* au sens courant autant qu'étymologique, bien entendu.

> ce que j'en panse, donc je te suis

cf. saine de ménage
cf. au fond, la rochefoucauld, c'est moi
cf. carrément, sur fond blanc
cf. pouvoir sur soi
cf. l'art de rencontrer d'aimer