N'en jetons presque plus ! Trions, reprenons, détournons.
L'essentiel est presque bien dit et redit, en long, en large...
Reprenons serré, de travers, à travers.
Par les moyens d'avenir du présent. Pour le présent de l'avenir.
(OTTO)KARL

> page d'accueil

2011-02-08

oui, je sais bien qu'après la pluie...

Toute la pluie tombe sur moi
Et comme pour quelqu'un dont les souliers
Sont trop étroits,
Tout va de guingois
Car toute la pluie tombe sur moi
De tous les toits
(...)

Toute la pluie tombe sur moi
Oui mais moi je fais comme si je ne la sentais pas
Je ne bronche pas, car
J'ai le moral et je me dis qu'après la pluie...
Vient le beau temps et moi j'ai tout mon temps.
(...)

Toute la pluie tombe sur moi
Oui mais moi je fais comme si je ne la sentais pas
Je ne bronche pas, car
J'ai le moral et je me dis qu'après la pluie...
J'ai le moral et je me dis qu'après la pluie...
Oui, je sais bien qu'après la pluie...
Vient le beau temps
Et moi j'ai tout mon temps
Vient le beau temps
Et moi j'ai tout mon temps
(D.H.)

L'impression de n'arriver à rien (vraiment à rien) veut dire que beaucoup se prépare.
(P.S.)

Pour que l'événement ait lieu, il faut, évidemment, un comble de fatigue, de découragement, d'angoisse, de dégoût, la morsure de mort habituelle, le coup de l'abîme. Tu te traînes, tu rampes, tu multiplies les erreurs, tu as mal partout, tes yeux fondent. Pas d'issue, torrent d'oubli, non-sens général. Et puis soleil, et puis ça va.
(P.S.)

procrast... C'est qui ? Hein ?... C'est con.

Toujours entre le repos et la veille, on cherche en vain le calme, et l'on s'arrête au bord de l'activité. Les deux tiers de l'existence humaine se consument à hésiter, et le dernier tiers à s'en repentir.
Quand je dis l'existence humaine, il faut entendre la mienne !
(E.S.)

On ne commence un travail de longue haleine qu'avec la certitude de ne pas être dérangé.
(G.P.)